« L’idéal du pyrénéiste est de savoir à la fois ascensionner, écrire, et sentir. S’il écrit sans monter, il ne peut rien. S’il monte sans écrire, il ne laisse rien. Si, montant, il relate sec, il ne laisse rien qu’un document, qui peut être il est vrai de haut intérêt. Si – chose rare – il monte, écrit et sent, si en un mot il est le peintre d’une nature spéciale, le peintre de la montagne, il laisse un vrai livre, admirable. » (Henri Beraldi,Cent Ans aux Pyrénées,1898)